Je cacabe encore "ici la pintade rose" ()()() đđŠđč
Cela fait cinq ans que je cacabe avec régularité et sincérité....
eh oui, une pintade est le symbole d'une femme curieuse et voyageuse (mes voyages me mènent à travers le monde (entre nous ... grâce au web, mais pas QUE ...)
Mais qu'importe, tout m'intéresse.... je suis une cafteuse de toutes plumes !
Sérieuse ou pas !
Ps : petit secret ( la pintade n'a pas de nom mâle "le mâle reste un Pintade")
un fermier pour se distinguer et peut-être être vexé, enleva le "e" de pintad.....
comme je l'ai fait à Odil .... c'est drôle .... non !
La Pintade Rose rainbow !
Voici l'explication pourquoi je suis une Pintade oui, mais "la pintade rose" c'est à cause de ma sœur quand je lui demandais le pourquoi ... quand elle m'a appelé la premiere fois (t'es une Pintade, j'aurais pu dire dinde ou dindon ...)
Je pris le parti d'en rire et celui de Pintade en rajoutant "Rose Rainbow" depuis ma sœur est fâché avec moi. Je le regrette vivement....
" Les Pintades c'est un peu comme avoir une meilleure amie dans chaque ville. Quand on pense aux Madrilènes, on imagine les personnages féminins déjantés des romans de Lucia Extebarria, les chicas à la sexualité débridée des films d'Almodovar et de Bigas Luna. La réalité est un peu plus nuancée mais tout aussi savoureuse. On croise toutes sortes de femmes dans les rues de Madrid, des " pijas " (les BCBG) de Salamanca aux branchées de Chueca, des " toda la vida " (" pure souche ") de Chamberi aux militantes multi-ethniques de Lavapiés. Madrid, " capitale européenne où l'on peut sortir un jeudi et rentrer à la maison le lundi suivant ! ", est peuplée de femmes de tempérament qui n'aiment rien tant que vivre dans la rue, s'amuser avec leur pandilla (leur bande de copines de toujours), passer de bar à tapas en boîte de nuit, réinventer la Movida, boire, manger, draguer. Tout ça avec un décalage horaire permanent de deux bonnes heures ! Parce que l'Europe, l'euro, Zara et autres grandes chaînes
franchisées sont loin d'avoir aplani les Pyrénées, suivez les Pintades dans l'exploration désopilante des coulisses d'une ville attachante, contrastée, où l'on peut croiser une procession de la Semaine Sainte en sortant d'une cérémonie de mariage gay, où les mall rutilants à l'américaine côtoient les merceries et les bazars de quartier, où les enfants, traités comme des petits princes, restent (par plaisir) au domicile parental jusque trente ans, où les femmes optent plus souvent pour la blondeur en tube que pour de folles boucles noires. Comme toujours, les Pintades sont partageuses : elles vous diront où manger les meilleurs oeufs brouillés au chorizo, où trouver les meilleurs bars à tapas, où se faire pomponner, dans quelles piscines piquer une tête l'été, ou encore où vous faire faire (sur mesure) la même robe que la princesse laetizia. "
Pas facile d’embrasser les Madrilènes.(…) Émancipées, pionnières, frivoles,féministes, avec une pointe de conservatisme. De celles qui ont tout conquis en une génération. Femmes orchestres, à la fois super- compétitives et solidaires.(…) Pas à une contradiction près ces drôles d’oiseaux. Les Madrilènes sont là où on ne les attend pas. Voilà dix ans que j’ai posé mes plumes à Madrid. À l’époque, je ne parlais pas trois mots d’espagnol. À peine capable de commander un café dans un bar. J’ai découvert une capitale à l’image des ses habitantes, accueillante,pas prétentieuse, ni très stylée. En pleine mutation. Depuis, saisie par une fièvre bétonneuse frénétique, portée par l’euphorie d’un long boom immobilier, Madrid s’est toilettée, branchisée, tout en restant vivante et populaire. Elle est devenue trépidante... |
Le concept et ses origines
En 2004, Layla Demay et Laure Watrin entreprennent la rédaction d’un ouvrage décodant le mode de vie des femmes new-yorkaises, mélange de chroniques journalistiques et d’adresses. L’ouvrage Les Pintades à New York sert ensuite de matrice pour la publication des autres ouvrages de la collection, que Layla Demay et Laure Watrin décident de créer après la sortie de ce premier livre.
Le concept consiste à porter un regard décalé sur les coulisses féminines des grandes villes du monde. Les livres sont écrits par des journalistes françaises qui vivent dans les villes en question. Elles s'appuient sur une enquête journalistique de fond, de nombreuses rencontres et interviews.
Les Pintades décodent et analysent les modes de vie des habitantes des villes visitées, dans le but d’en faire découvrir les us et coutumes. Chaque ouvrage est construit sous forme de chroniques qui décrivent le quotidien des femmes (mode, beauté, engagement citoyen, condition féminine, monde du travail, enfants, séduction, vie sexuelle...) en fonction du contexte social et politique de leur pays. Chaque ouvrage livre également un carnet d’adresses.
Layla Demay et Laure Watrin ont choisi cet oiseau pour symboliser la femme moderne, qu’elles définissent comme étant féministe et féminine. Dans leurs ouvrages, elles insistent sur les qualités d’indépendance du volatile et font un parallèle anthropomorphique avec les femmes qu’elles dépeignent.
Elles se sont appuyées sur la lecture du zoologue Jean-Marie Lamblard[1], Grands Prix d’Automne 2003 de la Société des Gens de Lettres pour son ouvrage L'Oiseau nègre : l'Aventure des pintades dionysiaques, Éditions Imago, (ISBN 978-2-91141-681-1).
La pintade (emprunté au portugais pintada signifiant poule peinte[2]) est un oiseau de la famille des gallinacés. Originaire d’Afrique, il y symbolise la femme émancipée dans de nombreux pays.
— Karim Haouadeg, Europe. Revue littéraire.
— Jacques Vigoureux
— Jacques Vigoureux
Le choix de ce titre éponyme est un clin d’œil aux « noms d’oiseaux » souvent donnés aux femmes. Pour les auteures de la collection, être une Pintade, n’est pas péjoratif, c’est être une femme de son époque.